Un "miracle" en 2004:
Le nombre de femmes violentées annuellement au Québec a baissé d'environ 98.5% (de 300,000 à 4,500)... tout cela sans que le gouvernement n'ajoute un sous aux programmes de lutte contre la violence conjugale. De plus, le Ministre de la Justice et le Ministre de la Sécurité Publique n'ont pas non plus appliqué une nouvelle loi, plus sévère...
Alors, quelle est l'énigme derrière ce "miracle"?
Simple, un organisme de pères séparés (de leurs enfants) du Québec, l'Après-Rupture
(
www.lapresrupture.qc.ca ), a demandé à la Commission de l'accès à l'information du Québec des précisions sur le fameux chiffre "gonflé aux stéroïdes" i.e. 300,000 femmes violentées annuellement au Québec.
Et le miracle se produisit:
On a été obligé d'admettre que ce chiffre avait été INVENTÉ par un "certain lobby". Tout le monde connait ce lobby qui fait trembler TOUS nos députés et ministres depuis 35 ans...
Quelques temps après, pendant une conférence de presse, la Ministre déléguée à la Condition Féminine de l'époque, annonça le "nouveau" chiffre.
Toute la littérature gouvernementale et para-gouvernementale (du Québec) concernant ce chiffre a été modifiée (ou est en processus de l'être).
Mais la Ministre a un dernier effort à faire, car elle n'a pas encore dit TOUTE la vérité sur le "nouveau" chiffre. Et moi non plus d'ailleurs...
Mon "petit" mensonge:
La vérité, c'est que dorénavant, notre gouvernement annoncera qu'environ 14,500 femmes sont violentées et ce, à chaque année. (et non pas 4,500, comme il est mentionné plus haut)
Et le "petit" mensonge de la Ministre:
Ce chiffre (environ 14,500) représente les ACCUSATIONS seulement contre les hommes et les femmes, pas les condamnations ! La différence entre les 2 chiffres représente les acquittements, les abandons de poursuites faute de preuves, les poursuites non-fondées, etc. Les femmes sont accusées aussi, mais beaucoup moins souvent. Dans le chiffre représentant les condamnations (4,500), il y a environ 1000 femmes trouvées coupables. Quand les femmes sont accusées, elles sont proportionnellement beaucoup plus souvent condamnées.
Et nous savons depuis un certain temps, qu'il est très facile pour une femme du Québec (et du Canada) de porter de fausses allégations contre un homme. Il faut remercier un certain groupe de pression (qu'on a pas besoin de nommer) pour avoir réussi à démoniser TOUS les hommes et ce, sans distinction et sans PREUVES scientifiques. Depuis ce temps, nous avons la "merveilleuse" Politique d’intervention en matière de violence conjugale, (
http://206.167.52.1/fr/document/publication.nsf/0/94597a86236b299f852569fb005ccbe2?OpenDocument ) qui OBLIGE tous les policiers et procureurs du Québec (et du Canada) à prendre TOUTES les plaintes, lorsque celles-ci proviennent d'une femme se disant victime d'un homme. S'ils ne le font pas, leur emploi est en jeu ! Eux aussi tremblent devant un "certain lobby".
De plus, les hommes ne sont rarement autorisés à porter plainte à cause de cette même politique.
Une critique de cette politique:
http://www.coalitiondeshommes.org/critique.htm Dans cette politique OFFICIELLE du gouvernement, on peut y lire 120 fois que l'homme est coupable et que la femme est TOUJOURS une victime.
En attendant que les mensonges cessent et que la présomption d'innoncence retrouve sa place légitime dans notre système de droit, voici ce que les hommes peuvent faire pour se défendre:
http://www.coalitiondeshommes.org/lesystemeviole.htm ***
Quand va-t-on "déglonfler" aussi les chiffres concernant les agressions sexuelles? Selon la propagande gouvernemantale, toutes les femmes du Québec seraient agressées sexuellement à l'intérieur d'une période de 3 ans... car selon les dernières données des CALACS, 87,000 québécoises seraient victimes de violences sexuelles... et ce chiffre représenterait seulement 6% des agressions !
Or, nous savons grâce aux recherches SCIENTIFIQUES, aux enquêtes, aux sondages, etc, que plus de 95% des hommes ne sont PAS des agresseurs, pas des violeurs, pas des "batteurs de femmes", pas des pédophiles, etc. Nous savons également que le % de femmes non-violentes est à peu près le même.
A qui profite cette démonisation des hommes?
Est-ce que cela profiterait au lobby du Barreau ($) et à un "certain lobby" ($) ?
Pourquoi nos députés ne modifient-ils pas les politiques injustes envers les hommes... politiques qui enfreignent la
Charte des droits et libertés ?
Nous savons que près de 30% des députés et ministres sont aussi membres du Barreau (ou ex-étudiant en droit)... et plusieurs autres proviennent d'un "certain lobby".
Est-ce qu'il y a des liens à faire?
A qui profite le crime des chiffres gonflés aux stéroides?