Égalitariste-complémentaire
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
Égalitariste-complémentaire

Égal ne veut pas dire semblable
 
AccueilAccueil  RechercherRechercher  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  Connexion  
Le deal à ne pas rater :
Cartes Pokémon 151 : où trouver le coffret Collection Alakazam-ex ?
Voir le deal

 

 Violence féminine (stats)

Aller en bas 
AuteurMessage
Action




Nombre de messages : 190
Date d'inscription : 15/04/2006

Violence féminine (stats) Empty
MessageSujet: Violence féminine (stats)   Violence féminine (stats) EmptyDim 16 Avr - 0:01

Enquete de la G.R.C. Police: 46% des meurtres familiaux sur les enfants sont perpétrés par la mère. 35% par les pères. GRC de Marlene L. Dally Ph.D. : The killing of Canadian Chidren by Parent(s) or Guardien(s) Canada 1990 à 1993. Page 17, tableau 6.

Dans 43% des cas, la raison donnée pour le meurtre de l'enfant: la colère contre le conjoint. Page 20.



Violence féminine (stats) Meurtresdenfant19901993grc7wy


Arrow http://www.ourmissingchildren.gc.ca/omc/publications/010/kil ling_e.htm
Revenir en haut Aller en bas
Action




Nombre de messages : 190
Date d'inscription : 15/04/2006

Violence féminine (stats) Empty
MessageSujet: Re: Violence féminine (stats)   Violence féminine (stats) EmptyDim 16 Avr - 0:01

Violence féminine (stats) Meurtresdenfantsparmarlenedall


Depuis 1990, le nombre de meurtres d'enfants

est passé de 34 à 51 en 1998, atteignant même

un sommet de 62 en 1997. Bien que ces

statistiques demeurent passablement stables, il

est intéressant de noter que les enfants risquent

presque autant d'être victimes de l'un des parents

ou d'un tuteur que d'un étranger.

• Ce sont les enfants âgés de moins de un an qui

risquent le plus d'être victimes de meurtres

simples ou en série. Si l'on tient compte de tous

les groupes d'âges dans l'analyse, la moyenne

d'âge des victimes est de quatre ans. Dans la

présente étude ainsi que dans d'autres citées

dans la documentation, l'âge constitue le facteur

le plus évident en ce qui concerne les risques

absolus.

• Il y a autant de meurtres de bébés commis par le

père que par la mère.

• En tenant compte de tous les groupes d'âges, les

mères et les belles-mères tuent plus d'enfants

que les pères et les beaux-pères.

• Le sexe des enfants tués par les mères et les

belles-mères, ainsi que par les pères et les

beaux-pères est réparti également. Toutefois, ce

résultat diffère de celui d'autres études.

• En ce qui concerne la méthode utilisée, les pères

commettent des agressions physiques tandis que

les mères étranglent ou asphyxient leur enfant.

Ce résultat correspond à celui d'autres études.

• Pour le meurtre de jeunes enfants, les pères se

servent d'une arme et les mères utilisent diverses

méthodes.

gravement déprimé. Cette constatation est

conforme à celle d'autres résultats de recherche

cités dans la documentation.

• La discorde familiale et l'instabilité dans les

rapports, ainsi que les problèmes qui s'ensuivent

sont cités comme étant des facteurs contribuant

aux meurtres d'enfants. Ces constatations sont

conformes à celles d'autres résultats de

recherche cités dans la documentation.

Ce rapport est disponible sur notre site Web à

l'adresse www.nosenfantsdisparus.ca

ANNONCE

Nous adressons nos félicitations à Ann Petricca-

Allen, coordonnatrice nationale du Projet retour

international - Douanes, qui a reçu une promotion et

est retournée à l'administration centrale des

Douanes. Bonne chance!

Nous souhaitons la bienvenue et félicitons sa

remplaçante, Diane Riou. Elle arrive au programme

nos enfants disparus avec plus de dix-neuf ans

d'expérience au service des Douanes. Elle a

travaillé neuf ans dans un bureau régional auprès

des importateurs, à effectuer des vérifications

complexes. Ensuite, elle a été mutée à

l'administration centrale des Douanes où elle a

travaillé à la Division des enquêtes pendant dix ans.

On peut communiquer avec Mme Riou en composant

le (613) 990-8585.
Revenir en haut Aller en bas
Action




Nombre de messages : 190
Date d'inscription : 15/04/2006

Violence féminine (stats) Empty
MessageSujet: Re: Violence féminine (stats)   Violence féminine (stats) EmptyDim 16 Avr - 0:02

Documentaire: Pied-de-Biche sur la violence des femmes
Arrow http://www.telequebec.tv/documentaires/index.aspx?P=8000&;s=203&e=234&ad=2005&md=9&jd=30


Présentation et débat à Télé-Québec du documentaire Pied-de-Biche sur La violence des femmes réalisé par Rachel Verdon et Robert Favreau. Le documentaire traite de la violence des femmes. La production sera Présentée dans le cadre de l'émission ŒLes grands documentaires et sera suivi d'un débat de 60 minutes dans le cadre de la première de l'émission d'Anne-Marie Dussault, Dussault Débat. ( http://www.telequebec.tv/fiches/dussaultdebat/dussaultdebat.aspx )

Le jeudi 29 septembre à 20h à Les grands documentaires.
Le jeudi 29 septembre à 21h à Dussault Débat.

En Rediffusion
Le lundi 3 octobre de 22h à 24h.

Qui dit «violence», dit hommes violents. C'est du moins l'association spontanée que l'on fait entre les deux mots. Et qui dit «violence» dit aussi «violence conjugale», dont personne ne conteste qu'elle soit essentiellement masculine. Mais faut-il pour autant considérer la Violence comme le domaine exclusif des hommes ? Comment se manifeste-t-elle, au féminin ? Ce documentaire, scénarisé et réalisé par Rachel Verdon, jette un éclairage troublant sur cette forme de violence en apparence anodine ­ chantage émotif, formes diverses de manipulations mais qui peut, elle aussi, laisser des séquelles profondes. Femmes agresseures et hommes victimes lèvent le voile sur une réalité encore taboue de notre société. Au Québec, moins de 1 % des femmes sont victimes de violence conjugale. C'est exactement le même pourcentage chez les hommes

Réalisé avec la collaboration de l'organisme communautaire Pères Séparés ( http://www.peres-separes.qc.ca/ ) , le documentaire met en relief l'impact de la politique de Violence conjugale sur la vie familiale ordinaire et surtout sur les pères en situation de rupture conjugale.

PANNELLISTES DU DUSSAULT-DÉBAT,
«Est-ce que les femmes sont aussi violentes que les hommes, et si oui, pourquoi l'avoir caché?»

Marie-Andrée Bertrand, criminologue et professeure à l'Université de Montréal, auteure de Les femmes et la criminalité (1979) qui demeure un ouvrage de référence en la matière.

Maryse Bouchard, intervenante auprès des femmes violentes et ex-femme violente.

Louisiane Gauthier, psychologue à l'Association des centres jeunesse du Québec.

François Lepage, responsable clinique de Option, service de traitement De la violence familiale dont un volet est consacré à la violence des femmes.

Rachel Verdon et Robert Favreau, réalisateurs de Pied-de-Biche.


COMMENTAIRES SUR CE DOCUMENTAIRE:
Arrow http://www.telequebec.tv/dussaultdebat/commentaires.aspx?e=1
Revenir en haut Aller en bas
Action




Nombre de messages : 190
Date d'inscription : 15/04/2006

Violence féminine (stats) Empty
MessageSujet: Re: Violence féminine (stats)   Violence féminine (stats) EmptyDim 16 Avr - 0:02

Can Women Show Aggressive Behavior?


Although aggression may have instinctual roots, the method of
displaying aggression “appears to be learned behavior.” (Steinmetz, 1980, p
334) A group of researchers reviewed 72 studies that measure aggressive
behavior in both men and women. They found that nearly two-thirds of the
studies “did not show the expected higher male than female aggressiveness
across all conditions.” (Frodi et al., 1977, p. 634) They also found that when
women feel an aggressive act is justified, and they receive permission from
society to assault, there is little gender difference in the incidents of aggressive
behavior between the sexes. (Frodi et al., 1977, p. 647)
Is testosterone the cause of male aggression? Is aggressive behavior
gender specific or hormonally based? Patricia Pearson (1997), who has done
extensive study of female aggression, looks at the role of the male hormone
testosterone and its influence on aggressive behavior. She states that the
research to date is “utterly inconclusive on the influence of male hormones on
violence.” She goes on to say that one of the major methodology flaws in
testosterone research is that the men who are usually tested are prison inmates.
This fact is important because “testosterone, like adrenaline, increases in people
exposed to conflict.” (p. Prison settings typically are environments full of conflict. Pearson also mentions that there are elevated levels of testosterone in
female prisoners. Although she raises an interesting point, it does not
completely rule out the idea that higher levels of testosterone in either males
or females raise the level of aggressive behavior. One can speculate that a large
number of prisoners came from an environment that also exposed them to
conflict on the streets and in neighborhoods in which they lived.
Sapolsky (1997) has studied the effects of testosterone in the body, and
has found that if someone is already aggressive, testosterone will increase
aggressive behavior but does not cause it. He explained that giving higher
levels of testosterone to a man who is not normally aggressive does not
radically change him into an aggressive man. In recent years there have been
some surprising studies that challenge the concept that aggression in men is a
result of high levels of testosterone. Cook (1997) writes that the 1995
conference of the Endocrine Society produced papers “contending that a
deficiency of the ‘male’ hormone testosterone was more likely to produce
aggressive behavior, not high levels of the androgen.” Another study found
that the female hormone estrogen “was a source of aggressive tendencies.” (p.
33) What new scientific research may be finding is that any imbalance of
testosterone or estrogen may lead to higher levels of aggression in both males
and females who are predisposed to aggress. This finding may place the
discussion of aggression more in the area of choice, childhood trauma, and
hormonal imbalance in both men and women, rather than simply being a
“male problem.” Research also shows that approximately 60% of women who
are arrested for assaulting their husbands had prior criminal records. (Jurik,
1989; Jurik & Gregware, 1989)

Arrow http://www.dgp.toronto.edu/~jade/safe/essays/vtbreak.pdf
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé





Violence féminine (stats) Empty
MessageSujet: Re: Violence féminine (stats)   Violence féminine (stats) Empty

Revenir en haut Aller en bas
 
Violence féminine (stats)
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Violence conjugale (stats)

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Égalitariste-complémentaire :: Recherches/stats/textes/etc :: Statistiques-
Sauter vers:  
Ne ratez plus aucun deal !
Abonnez-vous pour recevoir par notification une sélection des meilleurs deals chaque jour.
IgnorerAutoriser