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 Kennedy un complot?

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Date d'inscription : 20/04/2006

Kennedy un complot? Empty
MessageSujet: Kennedy un complot?   Kennedy un complot? EmptyMar 22 Mai - 23:59

De nouvelles études ballistiques tenderaient a démontrer que Kennedy aurait été tué par plus d'un tireur!

Citation :
Kennedy, victime d'un complot?

John Kennedy a été assassiné dans les rues de Dallas, le 22 novembre 1963.

Des chercheurs américains estiment avoir découvert des éléments justifiant une réouverture de l'enquête sur l'assassinat de John F. Kennedy. Selon eux, Lee Harvey Oswald n'était pas le seul tireur dans l'assassinat du président américain, en 1963.

Les résultats des chercheurs, qui ont effectué un nouvel examen balistique en recourant à des méthodes modernes de calculs statistiques et d'analyse chimique, ont été publiés dans la dernière édition de la revue scientifique Annals of Applied Statistics.

« Nous avons montré que les preuves avancées [par les experts d'alors] pour éliminer la possibilité d'un deuxième assassin sont fondamentalement erronées », écrit William Tobin, principal auteur de l'étude.

« Étant donné l'importance et les conséquences de l'assassinat de JFK, il est scientifiquement souhaitable que les cinq fragments de balles retrouvés à Dallas et sur lesquels s'appuie la thèse officielle soient de nouveau analysés », soulignent les chercheurs.

Radio-Canada

Un excellent dossier de Radio-Can sur ce sujet!

Citation :
Le jour où la controverse éclate

La commission Warren
Le président Johnson nomme, le 29 novembre 1963, une commission présidée par le juge en chef de la Cour suprême, Earl J. Warren, chargée d'élucider les circonstances de l'assassinat de Kennedy. Six autres personnes, dont certains n'étaient étrangement pas en bons termes avec le clan Kennedy au cours de son mandat, l'accompagnent :

Richard B. Russell, sénateur démocrate de la Géorgie;
John Sherman Cooper, sénateur républicain libéral du Kentucky;
Hale Boggs, sénateur démocrate conservateur de la Louisiane;
Gerald Ford, républicain conservateur, futur président des États-Unis à la suite de la démission de Richard Nixon;
Allen Dulles, ancien directeur de la CIA qui a démissionné à la suite de l'échec de l'invasion de la baie des Cochons;
John J. McCloy, banquier et conseiller en désarmement du président Kennedy.


Afin de calmer la communauté internationale en pleine guerre froide, le nouveau président, Lyndon B. Johnson, avait adressé à Moscou, trois jours après l'assassinat, un message disant qu'il n'y avait pas eu de conspiration, qu'un seul assassin était responsable, lequel venait lui-même d'être tué. Il faut se replacer dans le contexte de l'époque : un an plus tôt, le monde était passé à un cheveu d'une confrontation nucléaire lors de la crise des missiles à Cuba. À la lumière de l'assassinat de Kennedy, le nouveau président devait rassurer le monde, quitte à ce que la hâte et la précipitation fassent fi de certains faits et laissent de la place pour le doute.

Diverses théories, étayées dans des films, des documentaires ou des essais, ont rejeté d'emblée les conclusions de la commission Warren sur un tireur fou et solitaire. On accuse la mafia, le KGB, le complexe militaro-industriel américain, les anticastristes, les procastristes, la CIA, le FBI, les services secrets américains, voire le vice-président Lyndon Johnson lui-même.

Des théories les plus farfelues aux plus plausibles, toutes partent d'un constat commun : la version avancée par la commission Warren pour déterminer les circonstances de l'assassinat comporte des zones grises, des éléments de preuve pour le moins discutables et des documents restés secrets. Assez, en tout cas, pour mener une commission du Congrès à conclure, le 29 mars 1979, que « le président Kennedy a probablement été assassiné à la suite d'un complot ».

Sans identifier les coupables, le comité de 1979 exclut toutefois la CIA, le FBI et les services secrets, et conclut que le gouvernement cubain, tout comme les groupes anticastristes aux États-Unis, ne sont pas impliqués jusqu'à preuve du contraire. Le rapport soutient toutefois que des aspects de l'affaire ont été volontairement occultés parce qu'ils auraient pu être gênants. Il recommande de pousser plus avant l'enquête sur l'assassinat du président Kennedy, recommandation qui restera sans réponse.
Théorie de la balle magique

Les conclusions de la commission Warren ne font état que de trois balles tirées, dont la première a raté la cible pour choir sur le pont ferroviaire situé plus loin au-dessus de la route. Un spectateur, James Tague, a aussi été légèrement blessé par un éclat de balle.

Il ne reste donc que deux balles, dont l'une a porté la blessure mortelle à la tête du président Kennedy. Les sept autres blessures infligées à Kennedy et au gouverneur Connally doivent ainsi être expliquées par le même projectile. Le jeune conseiller Arlen Spector, qui deviendra plus tard sénateur républicain de Pennsylvanie, avance alors la théorie qui sera rendue célèbre sous le nom de la « théorie de la balle magique ».


Kennedy un complot? Magic

http://www.radio-canada.ca/nouvelles/dossiers/jfk/controverse.html
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