Égalitariste-complémentaire
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 Plaidoyer gynarque (en gynarque dans le texte)

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Caton




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MessageSujet: Plaidoyer gynarque (en gynarque dans le texte)   Plaidoyer gynarque (en gynarque dans le texte) EmptyMar 10 Oct - 7:40

Citation :
EXTRAIT DE QUAND LA FEMME VINT AU POUVOIR d'Aline d'Arbrant (chapitre V, 1).




Sabine Dacier avait procédé elle-même à l'organisation des Camps Spéciaux d'Internement. Aussi était-elle particulièrement fière quand elle fit visiter celui de Tours, sa ville natale, à Marie-Pierre Horin, avec qui, par ailleurs, elle venait de se mettre en ménage, le mari de celle-ci, depuis quelques jours arboraient avec fierté son insigne triangulaire d'Auxilaire Masculin Privilégié.

La porte du Camp s'ouvrit devant les deux Ministres pour leur offrir dès l'entrée un spectacle inattendu. Apparemment, aucune présence masculine. Seules, quelques gardiennes en uniforme de cuir noir déambulaient dans l'enceinte fortifiée du camp. Elles étaient élégantes et particulièrement excitantes dans leur tenue officielle créée par Amanda Kred, la ministre de l'Industrie, et confectionnée par ses propres mâles. A part leur pistolet réglementaire pendant contre leur hanche, les jeunes femmes n'avaient comme arme qu'un petit boîtier de télécommande à la main.

En s'avançant Marie-Pierre constata que le sol qui semblait vitrifié était en fait constitué par de grande plaques de verre très épais sur lesquelles avançaient les gardiennes grâce à des chaussures à semelles caouchoutées.

- Mais, Sabine, demanda la Première Ministre, où sont donc les mâles rebelles ?

- Regarde par terre, chérie.

Baissant les yeux, Marie-Pierre eut un sursaut de surprise en découvrant sous elle, dans d'étroites petites cellules fermées simplement en haut par les épaisses dalles de verre rivetées, des hommes complètement nus, un par cellule, assis, couchés ou debout selon la largeur de celle-ci.

- Mais ils voient mes fesses ! s'exclama-t'elle en plaquant sa jupe sur ses cuisses. Quelle horreur !

- Laisse donc. Ils n'ont que ça à voir jusqu'à leur mort. Et la plupart d'entre eux ne sont plus des êtres humains depuis longtemps. Regarde les gardiennes ! Elles s'en fichent bien, elles !

Effectivement les jeunes-femmes ne semblaient pas s'inquiéter du spectacle qu'elles offraient aux habitants du sous-sol. Parfois, l'une d'entre elles, paraîssant découvrir quelque chose sous ses pieds, utilisait quelques secondes sa télécommande, constatait les conséquences de son geste puis reprenait tranquillement sa promenade.

- Que fait-elle ? demanda Marie-Pierre.

- Son boîtier de télécommande lui permet, d'en haut, de gérer totalement la vie des prisonniers d'en bas. Elle doit d'abord composer le code d'accès de la cellule qui l'intéresse. Elle a alors le choix entre cinq fonctions différentes. D'abord l'ouverture de la. trappe de verre (quand un nouveau prisonnier est amené). La distribution de nourriture (qui se fait par un système de conduits pneumatiques). Le lavage (un jet d'eau puissant nettoie le sol, les murs et l'occupant de la cellule). L'évacuation (l'eau, les restes et les excréments sont emportés vers les égouts). Et l'élargissement ou le rétrécissement des cloisons latérales.

- C'est vrai. Ils n'ont pas droit tous à la même surface vitale ?

- Non, ma chérie, continua d'expliquer Sabine. Cela dépend de leur comportement et de l'importance de ce qui leur est reproché. Les gardiennes sont seules juges. Elles peuvent accorder les deux mètres carrés maximum (un mètre sur deux) qui leur permettent de s'allonger par terre s'ils le désirent ou rétrécir la surface au sol pour qu'ils ne puissent se tenir qu'assis ou debout.

- Celui-ci qui nous regarde d'un drôle d'air ne peut même pas bouger !

- Gardienne !

- Oui, Madame la Ministre ?

- Qu'a fait cet homme ?

- Oh, celui-ci ! fit la jeune-femme en uniforme en désignant du pied le visage tendu vers elles. C'est un râleur. Jamais content ! Il n'en a plus pour très longtemps, de toute façon. Chaque jour, je rapproche les cloisons de sa cellule d'un centimètre.

- Il va finir par être étouffé ? demanda Marie-Pierre intéressée par le supplice de l'homme dont le regard ne quittait pas ses dessous. Cela fait-il longtemps qu'il est dans cette position ?

- Plus d'une semaine, Madame la Première Ministre. Mais croyez-bien que, pour lui, cette semaine représente une véritable année ! Quant à étouffer, je ne sais pas. Certains meurent effectivement par étouffement mais d'autres attendent d'être complètement écrasés avant de rendre l'âme !

- Les cloisons, en effet, peuvent se rapprocher jusqu'à se toucher, expliqua Sabine plus en détails. Ainsi les prisonniers sont réduits en une bouillie sanglante qu'il ne nous reste plus qu'à évacuer par les égouts, comme leurs excréments...

- Quelle horreur !

- Mais non. Ce ne sont que des rebelles machistes !


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Adresse du texte d'origine :
http://www.gynarchy.org/publisher/
Autres échantillons à y consulter :

Les Aventures de Wandine (nouvelles)
Aline d'Arbrant © 1997

Camping sauvage à la ferme de Circé
Aline d'Arbrant © 1998

La Gynarchie
Aline d'Arbrant © 1997

Le Journal d'une Garce
Aline d'Arbrant © 1996

Lesbiennes et Sadiques
Aline d'Arbrant © 1988

Les Nouvelles Aventures de Wandine (nouvelles)
Aline d'Arbrant © 2000

Prisonniers des Gretchens
Aline d'Arbrant © 1994

Le Professeur asservi
Aline d'Arbrant © 1996

Quand la FEMME vint au POUVOIR
Aline d'Arbrant © 1995

Saphiques et Psychotiques
Aline d'Arbrant © 1994

Vengeance Saphique
Aline d'Arbrant © 1996

Zone décontaminée
Aline d'Arbrant © 1999

Gynarchist Poems
submale phil © 2002

Minerva Club
number 76 © 2005

Rogue Mail
number 76 © 2005


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MessageSujet: Plaidoyer gynarque (en gynarque dans le texte), suite.   Plaidoyer gynarque (en gynarque dans le texte) EmptyMar 10 Oct - 7:44

Autre échantillon :
Citation :
L'ESCLAVE MÂLE : ANIMAL, VEGETAL OU MINERAL ?
poèmes [ ]
par Aline d'Arbrant, professeur à l'I.M.E.G.(1) de France
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
par Aline d'Arbrant [Aline_d'Arbrant]
2004-09-08


Les Femmes dominantes, propriétaires d'un ou plusieurs esclaves, ont souvent une vision trop sommaire de la psychologie des mâles qui les servent. Elles ont tendance (mais c'est une réaction très normale dès qu'on commence à prendre l'habitude de la soumission des mâles) à assimiler leur esclave à un objet, à un robot domestique dénué de sensations ou de psychologie. C'est une erreur. Certes, le soumis mâle a une psychologie très rudimentaire qui l'assimile plus à l'animal qu'à l'être humain. On l'éduque comme un âne avec la carotte et le bâton, on le dresse comme l'écuyère dresse son cheval de cirque, on le fait agir par réflexe conditionné comme les chiens de Pavlov... Ceci est parfaitement exact. Cependant son systême de pensée mérite tout de même quelque analyse, aussi brève et succincte soit elle. Nous avons vu dans un autre article (2) que le soumis devait intérioriser les goûts et les idées de sa Maîtresse tout en tentant au maximum de se rapprocher d'elle par l'imagination permanente, et en temps réel, de ses sensations de Femme supérieure dont il ne peut avoir naturellement la moindre idée. Ce dépassement psycho-sensoriel auquel le soumis doit être astreint en permanence pour tendre vers l'idéal féminin, auquel il ne peut bien sûr pas prétendre, peut également être transcendé dans un progressif renoncement cognitif.

Son état hybride, mi-humain mi-animal, est souvent inconfortable pour l'esclave. Son esprit toujours tendu vers les sensations inconnues et hors de son atteinte qu'éprouvent les Femmes supérieures, et sa Maîtresse en particulier, les travaux qu'il effectue quotidiennement pour elle et l'adoration qu'il lui voue en silence, l'aident sans doute à vivre son infériorité naturelle et son destin servile mais, hélas, ne peuvent suffire à lui faire oublier sa profonde inutilité générique. C'est pour cela que, souvent sous l'impulsion d'une Maîtresse un peu psychologue mais quelquefois par quelque pulsion personnelle, s'enclenche chez l'esclave un véritable processus de réification qui est très loin d'être dommageable, tant pour lui même que pour sa Maîtresse a fortiori.

Il y a, nous semble-t-il, trois grandes étapes à cette intéressante "chosification" du mâle.

La première est en quelque sorte "immobilière". Le soumis entre dans une maison ou un appartement auquel il va être rivé (au sens figuré, mais aussi souvent au sens propre). Il appartient à la demeure de sa Maîtresse autant qu'à elle-même. Son horizon de vie (laquelle est devenue par nature essentiellement domestique) est limité par ses murs et l'une des tâches principales qu'il doit accomplir est de veiller à la propreté et au rangement de tout ce qui est enfermé entre ses murs. Son identification première avec l'espace immobilier dans lequel il est placé, parfois auquel il est enchaîné définitivement (3), est un premier pas dans le processus de réification du soumis mâle.

La seconde étape est "mobilière". Le mâle attaché à un lieu, et dont la fonction principale est de veiller à l'entretien de celui-ci et de ce qu'il contient, parfois à cause de la façon dont il est maltraité ou simplement ignoré par la population féminine qu'il doit servir ou, très souvent aussi, grâce à une conscience aiguë et intrinsèque de son infériorité naturelle, sent obscurément qu'il est utilitairement et psychologiquement beaucoup plus proche des meubles de la maison que des Femmes, par trop supérieures à lui, qui y vivent régulièrement. D'ailleurs, il accepte très facilement (voire apprécie dès les premiers jours de son asservissement !) d'être utilisé longuement comme n'importe lequel des autres meubles de sa Maîtresse (4). Ces autres meubles, qui sont en définitive ses principaux compagnons, peuvent devenir aussi ses rivaux. Un bon soumis utilisé comme repose-pieds par une Femme aura à coeur de rester au moins aussi stable qu'un vulgaire tabouret de bois. Il serait vexé de se voir préférer son compagnon d'essence végétale ! A l'inverse, il se montrera fier de pouvoir, contrairement à son confrère portemanteau, s'avancer jusqu'à celle qui aura suspendu, par exemple, ses vêtements de pluie et son chapeau à ses bras tendus ou sur sa tête. Peu à peu, cette fonction mobilière du mâle doit prendre le pas sur toutes ses autres fonctions plus animales jusqu'à, par exemple, ne plus croire qu'il est un esclave en train de laver le linge de sa Maîtresse mais bel et bien un lave-linge perfectionné en cours d'utilisation par celle-ci ou une autre Femme sachant le faire fonctionner.

Enfin, fétichisme aidant, l'esclave se met souvent à envier puis jalouser les vêtements ou les sous-vêtements de sa Maîtresse, surtout quand celle-ci lui interdit tout contact direct avec son corps divin de Femme. Pendant la lessive à la main d'un soutien-gorge ou d'une culotte, ou lors du repassage méticuleux d'une robe, le mâle soumis imaginera ce joli linge collé à la peau de sa Maîtresse, frôlant sans cesse son corps et ses formes, s'imprégnant de son parfum et de son odeur intime, tous plaisirs à lui interdits. Aussi appréciera-t-il d'autant plus le choix que la Femme peut faire de choisir un placard comme lieu de remisage de son esclave. Les étages supérieurs de ce placard étant réservés aux vêtements, sous-vêtements ou chaussures de sa Maîtresse, l'étage inférieur affecté au mâle pour ses périodes de repos ou quand sa présence est indésirable dans les pièces résidentielles des Femmes. Lentement mais inéluctablement, le sujet soumis s'objectivise et devient une chose utile. Le processus de réification est accompli.

Objet "pensant", certes, mais objet tout de même, le mâle gagne à être très rapidement "chosifié" et assimilé au reste du trousseau de sa Maîtresse. Tout y gagne en clarté dans les rapports Femme/mâle (ou Maîtresse/esclave, ce qui revient au même). Une place pour chaque chose et chaque chose à sa place, dit la sagesse populaire. La Femme dominante aura a coeur de faire pénétrer cette maxime dans ce qui sert de cerveau à son esclave, tout en lui faisant bien comprendre qu'il est bel et bien devenu réellement une chose, sa chose, et qu'il doit rester définitivement à sa place de chose, pour laisser vivre les Femmes à leur place de Femmes.


(1) Institut Mixte d'Education Gynarchiste.

(2) Vivre la vie de sa Maîtresse, apprentissage et réussite de la vraie servitude masculine.

(3) Dans le monde futur entièrement gynarchisé que nous souhaitons, pourquoi ne pas donner le statut d'"immobilier" à certains esclaves mâles qui pourraient être cédés, dans les transactions immobilières de particulière à particulière, en même temps que le logement auquel il serait affecté et rivé, comme l'évier, la baignoire ou le trône des toilettes ? Cette mesure présenterait l'avantage d'avoir un esclave toujours parfaitement au courant de l'entretien nécessaire à toutes les parties du logement en cours de cession. Certains appartements pourraient même prendre une certaine valeur immobilière grâce au mâle qui y serait fixé.

(4) Tabouret, lampadaire, table, porte-manteau, etc., les possibilités mobilières d'un mâle sont innombrables...

J'ai donné tous les liens à http://forum.aceboard.net/11070-245-7218-0-Gynarchy-International.htm
908 visites à ce jour
et à http://lavaujac.club.fr/disputatio/viewtopic.php?id=7
11359 visites à ce jour.

Impossible de compter les visites sur les fils publiés sur fr.misc.droit.famille et sur fr.sci.sociologie. Beaucoup !

D'autres fils d'informations sont plus succincts :
http://deonto-famille.info/index.php?topic=15.0
1567 visites
http://debats.caton-censeur.org/index.php?option=com_joomlaboard&Itemid=26&func=view&id=38&catid=43
609 visites
http://www.p-a-p-a.org/html/modules/newbb/viewtopic.php?topic_id=62&forum=8
478 visites


Dernière édition par le Ven 3 Nov - 11:31, édité 1 fois
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MessageSujet: Plaidoyer gynarque (en gynarque dans le texte), suite.   Plaidoyer gynarque (en gynarque dans le texte) EmptyMar 10 Oct - 7:46

Naturellement, sur tous ces lieux a été publié une étude de l'articulation entre sadisme de pointe et sadisme de masse :
Citation :
L'articulation entre sadisme de pointe et sadisme de masse

Quand le Putsch de Ludendorf et Hitler a échoué à München (novembre 1923), on a ri, on a pouffé de leur débilité. Leurs idées prêtaient à rire, tant elles étaient grotesques. En prison, Hitler rédigea son programme de guerre totale : Mein Kampf. Accessoirement, il en profitait pour falsifier sa biographie d'en moyenne un an, pour se confectionner une autre figure, bien plus maléfique que le lâche qu'il avait été.

Plus tard, on continua de dénier : "Oh non ! Le nazisme, c'est bien plus pur et plus noble que ces braillards de S.A. !" D'ailleurs Hitler fit assassiner Röhm, ce qui sembla régler la question.

Plus tard, on continua de dénier : "Oh non ! Les camps de la mort n'ont jamais pu exister ! C'est juste une invention de la juiverie internationale !"

Nous sommes tombés sur un vaste Meine Kampf du féminazisme, et aussitôt les dénégations ont plu : "Oh non ! Ce sont juste des ultra-minoritaires sans importance ! Pis t'es juste un paranoïaque pour avoir eu l'idée d'aller fouiller de ce côté-là, et je vais de ce pas te dénoncer à mes copines de la Sororité ! "

Les intimidations ont commencé à pleuvoir, pour nous interdire de penser l'articulation entre ce sadisme de pointe - les gynarques déclarées - et les sadiques anonymes, bien indistinctes dans le sadisme de masse, voire déjà installées à des postes-clés dans la presse et dans l'appareil judiciaire. Se reporter par exemple à l'émission de propagande anti-pères de Myriam Tonelotto et Marc Hansman, qui faisait la part si belle à leurs ineffables complices Hélène Palma et Martin Dufresne, militants fanatiques de la guerre sexiste, sur Arte, le 22 mars 2005.

Nous disposons de deux précédents à étudier pour nous guider : la Sainte Inquisition, et le nazisme en Allemagne, le fascisme en Italie, le franquisme en Espagne, et quelques autres fascismes sanglants encore.

Institution sadique et génocidaire par excellence, la Sainte Inquisition sous les rois Très Catholiques a fonctionné avec peu de sadiques vraiment maladifs : essentiellement le Grand Inquisiteur.
Pour le reste, les carriéristes ont suffi presque partout. Opportunistes, les carriéristes ont flairé où étaient les carrières sûres et juteuses : dans l'administration royale. Le roi avait besoin de terroristes assis, pour terroriser son peuple, ils ont fait carrière dans le terrorisme assis, sans autres scrupules ni "états d'âme". On a envoyé dans un premier temps 500 000 juifs et musulmans à la mer, et je n'ai pas sous la main les scores des années suivantes... Et voilà le moyen de satisfaire son sadisme anonyme en faisant brillante et confortable carrière !

Et comment l'antisémitisme de l'extrême-droite allemande est-il devenu la loi commune de l'Allemagne ? Silence très épais là dessus. Nous avons bien une information, mais son statut épistémologique est ténu.
Se reporter au premier livre d'Alice Miller, son "C'est pour ton bien", chez Aubier Montagne. Y figure le compte-rendu d'une psychanalyse d'un femme, une seule, qui explique que se rebeller contre la dureté et la méchanceté de ses parents, était impossible, impensable. Aussi quand Hitler lui a désigné qui haïr sans se faire punir (les juifs), elle s'est engouffrée dans cette aubaine, comme les autres lâches anonymes. Alice Miller dénonce d'une manière générale une "pédagogie noire", des traditions familiales fortement répressives, voire sadiques, en Allemagne, et en Suisse allémanique. Le sadisme paternel subi par le futur président Schreber, en est un exemple, aux conséquences fameuses (voir bibliographie).

Une seule psychanalyse, voilà qui ne satisfait aucun des critères scientifiques et statistiques du psychosociologue sérieux. On sait que ce que publie un psychanalyste non vérifié par ailleurs, peut être discutable, voire carrément truandé.
Il faudra pourtant bien s'en contenter à titre provisoire, car :
- On ne trouve pas d'autres témoignages non biaisés par le souci de prestance, de s'innocenter de sa part de culpabilité.
- La structure fournie par cette confession donne un bon cadre explicatif général.
- Cette structure de déplacement de la haine d'un objet inaccessible et dangereux vers un objet inoffensif et facile à maltraiter, est cohérente avec toutes nos autres connaissances et observations sur les haines et perversités, sur les organisations de la maltraitance et du harcèlement.
- Quand on a répété les expériences de Milgram en Allemagne, on a trouvé 85% de gens obéissants, contre 65% aux U.S.A et en Grande Bretagne. L'acteur qui jouait le rôle du cobaye torturé par l'autre, le cobaye naïf, ne s'en est pas remis : il a plongé dans un profond désespoir de plusieurs années, de voir ses compatriotes toujours aussi obéissants à torturer un homme qui ne leur avait jamais fait aucun mal.
- Autre information concordante, datant des années soixante-septante : la terrifiante mécanisation militaire des maternités d'Allemagne à cette époque, avec biberons à heures fixes, séparation rigoureuse des bébés d'avec leurs mères, berceaux tous alignés dans leur salle collective... D'accord, je n'ai qu'un seul témoignage direct, de Joseph Davidovits, à confirmer donc par d'autres témoins.

Ajoutons un mot sur les précédents en structures de dénégation de la réalité. Entre les deux guerres mondiales, Winston Churchill, redevenu journaliste enquêteur, enquêtait en Allemagne, et envoyait à son journal force preuves que l'Allemagne réarmait clandestinement, en violation du traité de Versailles, et préparait activement une nouvelle guerre. Et on le traitait de paranoïaque, pour oser troubler ainsi les illusions... Il semblerait qu'à cette époque, l'expression "adepte de la théorie du complot" n'était pas encore inventée, sinon nul doute qu'on l'en aurait traité.

Grâce à l'éclairage historique, nous sommes en mesure de préciser le positionnement marketing de ces fanatiques du sadisme anti-mâle et de la gynarchie : exactement comme Hitler en 1923, qui se positionnait comme le truand finançable et exploitable par le patronat allemand, pour terroriser leurs ouvriers à l'échelle du Reich, et pour exterminer toute résistance. Elles se positionnent comme les truandes disponibles, le réservoir de toutes les violences anti-mâles à commanditer, pourvu qu'on garantisse leur impunité.

Or l'impunité est d'ores et déjà garantie aux auteures d'attestations mensongères, ainsi du reste qu'à leurs commanditaires. C'est un secret de Polichinelle dans tous les Barreaux de France, que l'article 441-7 NCP est lettre morte, les Ministères Publics refusent systématiquement de poursuivre les attestations mensongères, car c'est un sport d'équipe massivement féminin, massivement préjudiciable aux pères et aux maris.

Conclusion :
Le ventre est encore fécond, d'où est sorti la bête immonde...


Un courrier sera très prochainement adressé au procureur, avec un CD contenant l'enregistrement de ces sites. Nous pouvons hélas prédire qu'aucune suite ne sera donnée, excepté un encouragement envoyé à ces dames, de mieux protéger leurs publications par des mots de passe, afin de ne plus laisser entrer que des complices sûres. Mobile : ces gynarques et féminazies disent tout haut ce que le Ministère Public pense tout bas.

Autre stratégie possible pour un plus long terme : Se déclarer désormais religion, et Eglise de l'Image de la Femme et de Kâli. Si si, ça va marcher, comme pour la scientologie ! D'abord c'est drôlement chouette pour l'évasion fiscale, ensuite elles pourront crier qu'on ne traite pas les religions sur un pied d'égalité, qu'elles sont encore brimées, qu'elles n'ont pas encore leurs lieux de culte où elles pourront pratiquer leurs sacrifices humains en toute tranquillité.



Le signataire de ces lignes est un sacrifice humain, qui a échappé par miracle aux deux tueuses conjurées.
Naturellement, toute criminalité bien organisée cherche à dominer l'appareil judiciaire, et à le mettre à son service. L'idéologie raciste et/ou sexiste sert à cela, justement.
Naturellement, j'ai reçu des intimidations et menaces de la part d'une idéologue de la guerre sexiste. On détaillera ces menaces et insultes à
http://debats.caton-censeur.org/index.php?option=com_content&task=blogsection&id=4&Itemid=46
Contrairement à la criminalité organisée, nous n'avons rien à cacher, nous :
http://debats.caton-censeur.org/index.php?option=com_content&task=view&id=27&Itemid=45
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