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 Organismes pour déstabiliser les pays et leur société???

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P-A-P




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MessageSujet: Organismes pour déstabiliser les pays et leur société???   Organismes pour déstabiliser les pays et leur société??? EmptySam 1 Juil - 20:02

Saviez-vous qu'il existe bel et bien des organismes qui oeuvre à la destructions et/ ou contrôle des nations, des familles, des genres, des religions du commerce libre et presque tout ce qui fondait la société et tout ça en prétendant souvent le contraire... Pour commencer ça en douceur...

Je vais vous traduire une chanson de WASP, un groupe américain ayant à sa tête un amerindien qui dénonce la destruction de sa nation par les mondialistes!!!

Citation :
Goodbye America W.A.S.P.
Artist: W.A.S.P.
Album: Still Not Black Enough
Year: 1995


Titre: Goodbye America

Je suis politically incorrect et fier de l'être
J'aime mon pays mais son gouvernement me fait peur à mort
Vous croyez ce que vous lisez que c'est celà qu'on vous donne
Mais toutes l'histoire est écrite par les vainqueurs
Je suis engagé dans une folie d'auto-destrucion
Je me nourris de votre famine pour nourrir ma corruption
Je vend partout la haine et l'inceste internationale
à des hyènes haineuses dans un festival du vol international
J'ai maîtrisé les arts de la mort et le génocide de nations étrangères
Et ceux qui se retournent contre moi commette un suicide national.

Je suis la reine du rêve global
Et je dirige une nation en déclin
Je m'asseois et écoute les cris violents
Du trône de votre désespoir
Je les ai tous tués et pris leurs terres
Faites l'esclavage des noirs et exterminer les rouges
En Dieu nous croyons et donnons naisance
Au wannabe roi de la terre

J'ai plus de cochons que de seins pour les nourrir
J'embrasse les faux leaders mondiaux
Et tiens les nourrissons sur mon sein
Et je vous duperai tous car de vous je m'alimenterai
Et ensuite je vous descendrai
Je sucerai le sang de votre terre
Humpty fuckin dumpty
Mon empire tombe

En Panne, au revoir l'Amérique
Ça fait Tellement longtemps la musique morte
Le dernier héros de la liberté gaspillé
Je vous ai fait, je vous casserai
En Panne, au revoir l'Amérique
Tout est partie, je t'embrassent au revoir là
Sur les genoux pliés sanglants où ma nation est morte
W.A.S.P. Lyrics

http://www.lyricsmania.com/lyrics/wasp_lyrics_2328/still_not_black_enough_lyrics_6427/goodbye_america_lyrics_75972.html

Pour écouter un bout

http://www.quelestmonip.info/pop/WASP_GOODBYE_AMERICA.mp3

sunny
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P-A-P




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MessageSujet: Re: Organismes pour déstabiliser les pays et leur société???   Organismes pour déstabiliser les pays et leur société??? EmptyVen 28 Juil - 1:50

Citation :
L'idéologie du genre



Le terme anglais gender est apparu il y a quelques années dans la littérature consacrée aux relations homme-femme. Souvent traduit en français par genre, il serait plus facilement compréhensible si on le traduisait par sexe. Le discours sur le genre nie toute importance à la différenciation génitale de l'homme et de la femme.



Si on devait résumer l'idéologie du genre par une seule phrase, il conviendrait de reprendre la phrase fameuse de Simone de Beauvoir:

"On ne naît pas femme: on le devient."31



La lutte des classes revisitée



Les textes consacrés au gender analysent les rôles et responsabilités attribués aux hommes et aux femmes dans le contexte de leur société, de même que des attentes au sujet des caractéristiques, des aptitudes et des comportements probables des femmes et des hommes (la féminité et la masculinité). Ces rôles et ces attentes varient dans le temps et selon les économies et les sociétés. L'idéologie du gender reprend l'interprétation que donne Friedrich Engels de la lutte des classes. Dans son livre sur l'Origine de la Famille, Engels retrace l'histoire de la femme: cette histoire dépendrait essentiellement de celle des techniques. L'apparition de la propriété privée fait de l'homme le propriétaire de la femme. Dans la famille patriarcale fondée sur la propriété privée, la femme est exploitée et opprimée par l'homme. Femme et prolétaire sont tous deux des opprimés. La libération de la femme passe donc par la destruction de la famille et la rentrée de toutes les femmes dans le monde des travailleurs. Une fois "libérée" du joug marital et du fardeau des maternités, la femme pourra occuper sa place dans la société de production. Simone de Beauvoir nous en donne une vision:

"Un monde où les hommes et les femmes seraient égaux est facile à imaginer car c'est exactement celui qu'avait promis la révolution soviétique: les femmes élevées et formées exactement comme les hommes travailleraient dans les mêmes conditions et pour les mêmes salaires; la liberté érotique serait admise par les mœurs, mais l'acte sexuel ne serait plus considéré comme un 'service' qui se rémunère; la femme serait obligée de s'assurer un autre gagne-pain; le mariage reposerait sur un libre engagement que les époux pourraient dénoncer dès qu'ils voudraient; la maternité serait libre, c'est-à-dire qu'on autoriserait le birth-control et l'avortement et qu'en revanche on donnerait à toutes les mères et à leurs enfants exactement les mêmes droits, qu'elles soient mariées ou non; les congés de grossesse seraient payés par la collectivité qui assumerait la charge des enfants, ce qui ne veut pas dire qu'on retirerait ceux-ci à leurs parents mais qu'on ne les leur abandonnerait pas."32



Toutefois, s'inspirant du structuralisme, l'idéologie du gender considère en outre que chaque culture produit ses règles de conduite et modèle son type de femme. Selon les sociétés, certaines tâches seront par tradition considérées comme des "tâches féminines" et d'autres comme des "tâches masculines". Si on veut "libérer" la femme de l'image de la femme mère au foyer, élevant ses enfants et s'occupant de son mari, il faut lui en donner les moyens: c'est la contraception et l'avortement. Libérée des tâches ménagères, la femme pourra se consacrer à son rôle de travailleuse, en égalité avec l'homme. En effet, en réalité, les différences de rôles entre l'homme et la femme sont d'origine purement historiques ou culturelles: elles sont le produit d'une culture en voie d'extinction.



La femme "dématernisée"



Dans son livre consacré à l'amour maternel, Elisabeth Badinter montre que l'instinct maternel est un mythe. Quant à l'amour maternel, il ne va pas de soi.33 Dans certaines pages, la maternité est présentée comme le lieu de l'aliénation et de l'esclavage féminin. Il est temps de "dématerniser" la femme, d'abolir les différences de rôles entre l'homme et la femme afin d'arriver à une culture "unisexe". La différence est remplacée par la ressemblance des sexes. A la passion pour le complémentaire se substitue la tendresse pour le semblable. Ce serait là l'avènement de l'androgynie, grâce à la valorisation de la bisexualité originelle de chacun.



Dans cette nouvelle culture, les rôles de l'homme et de la femme seront strictement interchangeables.34 Dès lors, la famille hétérosexuelle et monogame, conséquence naturelle du comportement hétérosexuel de l'homme et de la femme, apparaît comme un cas de pratique sexuelle à côté de divers autres cas et sur le même pied d'égalité que ceux-ci: homosexualité, lesbianisme, bisexualité, travestisme, "familles" recomposées, "familles" monoparentales masculine ou féminine, en attendant les unions pédophiliques ou même incestueuses.



Comme toutes les unions doivent être mises sur le même pied, la loi doit accorder aux divers types d'unions les mêmes prérogatives juridiques que celles reconnues à la famille traditionnelle.



La culture anti-famille du gender



La famille traditionnelle, hétérosexuelle et monogamique, est réduite à être un modèle parmi d'autres d'union purement contractuelle.



La famille traditionnelle comprend la notion de mariage: engagement dans le temps, devoirs de fidélité et de cohabitation, de secours et d'assistance librement consentis. Du mariage descend tout naturellement la filiation. L'état de filiation ne s'invente pas; il s'institue socialement comme une provenance dont personne ne dispose: ni le sujet ne détient le pouvoir de décider qu'il n'est plus fils ou fille de son père ou de sa mère, ni les parents ne maîtrisent non plus le lien qui, pourtant, émane de leur acte procréateur. L'institution familiale traditionnelle est donc bien le lieu où des personnes s'engagent librement à construire ensemble une communauté nouvelle, stable et ouverte à la vie. La famille est lieu de solidarité, d'interdépendance consentie, de fidélité.



La culture anti-famille du gender appelle "famille" et met sur les même pied différentes formes d'unions qui reposent sur des contrats passés entre individus. Les liens que j'engage avec tel individu sont des liens que je peux rompre à tout moment, dès que le contrat ne me convient plus ou dès que ma bisexualité originelle évolue dans un sens ou dans un autre. Quant aux enfants, s'il y en a, ils perdront cette famille - précaire dès son origine - dès que les parties contractantes estimeront avoir intérêt à renoncer à leur contrat.



Le droit à la liberté sexuelle des individus doit être proclamé; il ne doit être assorti d'aucune contrainte, d'aucune limitation.



www.cfjd.org/www/articles/schooyans_famille_dans_monde_moderne.doc+margaret+sanger+f%C3%A9ministe&hl=fr&gl=fr&ct=clnk&cd=28" class="postlink" target="_blank" rel="nofollow">Lien
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MessageSujet: Re: Organismes pour déstabiliser les pays et leur société???   Organismes pour déstabiliser les pays et leur société??? EmptyMer 2 Aoû - 21:17

Citation :
The Women's Freedom Network Newsletter
January/February, 1999, Vol. 6, Number 1.
Heterophobia: Sexual Harassment
and the Future of Feminism

(Lanham, Maryland: Rowman & Littlefield, 1998) $24.95 US.
by Daphne Patai

Reviewed by Wendy McElroy


I n her latest book, Heterophobia: Sexual Harassment and the Future of Feminism, the iconoclastic feminist Daphne Patai comments on how little debate the issue of sexual harassment has occasioned within feminism. The silence is especially strange when you consider the virtual warfare that has broken out over the subject of pornography, to outsiders who peer into the feminist movement, there must seem to be a consensus on sexual harassment which is so strong that it survived even N.O.W.'s bizarre defense of Clinton, although he clearly abused women. Of course, heretics like Nerra Sohani took gutsy steps-- e.g. denouncing the First Lady in the March 4. 1998 Salon Magazine, for reacting "in the manner of the traditionally oppressed" by "standing by her man" but more prominent feminists tended to attack the harassed women rather than the harassing man. Patai's Heterophobia constitutes the first mainstream feminist voice to speak out in protest against the disastrous impact that the Sexual Harassment Industry (SHI) has had on both men and women. Heterophobia ends the silence. And, as an academic who has witnessed first-hand the social experiment of "sexualizing subordination" within the university system, the woman knows what she is talking about.

The main theme of Patai's book is this: "[T]he current judicial, quasi-judicial, extra-legal, and administrative application of sexual harassment law, especially as manifested in the 'hostile environment' doctrine and as practiced in colleges and universities, represents an unwelcomed and dangerous shift in both law and custom."(xv) But the most controversial aspect of Heterophobia will surely be Patai's contention that the SHI is an intentional and extremely successful gambit employed by prominent feminists, such as Catharine MacKinnon, who wish to bring men "to heel-" Patai persuasively argues that the main objective of "sex regulators ... is the dismantling of heterosexuality altogether." (xv)

This is the echo of an old theme within feminism, In her book The Second Stage (1981), Betty Friedan expressed extreme alarm at the anti-heterosexual bias that seemed to dominate the higher echelons of the movement. Second Wave feminism -- the feminism that arose in the '60s -- made heterosexual women feel that they were not 'real' feminists because they were sleeping with the enemy. Patai substantiates Friedan's alarm.

She provides citation after citation of heterosexual women who apologize for loving men and of lesbians who question such women's purity- For example, in Heterosexuality: A Feminist and Psychology Reader (1993), Doris C. DeHardt explains that "she used to believe she could facilitate her clients' heterosexual relationships. Now, however, she thinks that 'feminist marriage is, like military intelligence, an oxymoron." Male-bashing, heterosexual-bashing, has become a characteristic within much of contemporary feminism. And sexual harassment laws have become the main political vehicle for the expression of heterosexual-bashing.

Lin Farley's pioneering work on sexual harassment, Sexual Shakedown: The Sexual Harassment of Women on the Job, appeared in 1978. Within its pages, she chronicled appalling and blatant instances of gender discrimination. She also acknowledged the self-conscious manner in which some women used sex in order to advance themselves in the workplace.

From this starting point, militant feminists argued that women should be included in the protection offered by Title VII of the 1964 Civil Rights Act, which prohibited discrimination on the basis of secondary characteristics such as race. This legislation, in conjunction with Title IX of the Education Amendments to the Equal Opportunity Act (1972), prohibited verbal or physical conduct of a sexual nature, imposed on the basis of sex, by an employee or agent of a recipient of federal funds ... "(p. 18)

That was the view of sexual harassment in the '70s. In the '90s, the issue has evolved to the totalitarian point that a 6 year-old boy in North Carolina was recently suspended from his first-grade classroom for kissing a female co-student on the cheek. Patai considers such extremes to be the result of "the construction of a social problem on a national scale." She eloquently presents the dangers and destructive power of legally denying heterosexuality. Such an attempt not only flies in the face of biology, but threatens the underlying legal fabric upon which individual rights rest.

Consider one example: in the university system (and many would argue in the legal system as well), when a charge of sexual harassment is leveled, the burden of proof is shifted to the accused. The accused is guilty until proven innocent. Sometimes the accusations are based on nothing more than politely questioning a feminist position. In one case, a markedly overweight professor responded to a taunt shouted out in class by a student who commented on the extreme 'size' of his chest: he observed that she had no such problem. As a result of the witch hunt that followed, the professor committed suicide. The university's main concern seemed to be that his death would discourage other similarly abused women from "speaking out."

Heterophobia has the refreshing charm of realizing that such incidents mean we are already living in a dystopian future gone mad. To the movement's shame, it is a feminist world. To the movement's credit, there are voice such as that of Patai's who are speaking sanity to the madness. And she speaks in feminist terms by unmasking the anti-woman assumptions of sexual harassment, e.g. women are not able to compete successfully with men on an even playing field: we are so weak and emotionally fragile as to require government protection in our social and professional interactions.

Heterophobia is a well-reasoned and well-structured book that is a pleasure to read. It is broken into three sections: The Making of a Social Problem; Typifying Tales; and, The Feminist Turn Against Men. My favorite is 'Typifying Tales' because, there, Patai gives voice to the unstated side of sexual harassment- Namely, the horrifying human toll it has taken on those who have been accused, including female professors such as author Valerie Jenness.

Patai begins and ends with a haunting question: will current sexual harassment theory and policy create a better or worse society? Her answer is clear. Current sexual harassment policies create only conflict and dysfuction. Her answer is also convincing.

--------------------------------------------------------------------------------
Reviewed by Wendy McElroy.

http://www.womensfreedom.org/artic616.htm
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MessageSujet: Re: Organismes pour déstabiliser les pays et leur société???   Organismes pour déstabiliser les pays et leur société??? EmptyLun 7 Aoû - 17:23

L'école de Francfort est sans doute une des organisations ayant le plus pourris la société avec son idéologie!!!

Citation :
The Four Horsemen of the Frankfort School

By Charles A. Morse
web posted January 14, 2002

In his new book "The Death of the West" Patrick J. Buchanan examines the origin of what he contends is the modern decline of America. He asserts that while Soviet style Marxism is largely dead, our society remains enthralled by Cultural Marxism, which is strangling our freedom, and threatening our future. This threat to our culture and way of life accelerated to a deadly speed with the establishment, in 1933 at Columbia University, of the Institute for Social Research, originally called "The Institute for Marxism." This institution became known as the Frankfort School.

The destructive nature of the Frankfort School, founded in New York after it's theoreticians fled there from Frankfort, Germany when Hitler came to power, is obvious from even a cursory examination of its primary texts. The four horsemen of the school were music critic Theodor Adorno, psychologist Erich Fromm, sociologist Wilhelm Reich and professor Herbert Marcuse. Their ideas, echoing through the halls of academia and from the ink stained hands of writers and journalists, would lead to, as Buchanan calls it, the establishment of today's politically correct catechism.

The original strategy to destroy America, employed by the Frankfort School, came from Italian Communist Antonio Gramsci who realized that in order to achieve a Socialist victory, cultural institutions would have to be infiltrated and subverted. Gramsci realized that America, steeped in traditions of freedom and liberty, would never to succumb to a frontal assault and its workers were too busy accumulating capital to allow themselves to be used as cannon fodder for a bloody revolution.


Theodor Adorno
The Frankfort School would patent the familiar "Critical Theory" which was accurately defined by a student as the "essentially destructive criticism of all the main elements of Western culture, including Christianity, capitalism, authority, the family, patriarchy, hierarchy, morality, tradition, sexual restraint, loyalty, patriotism, nationalism, heredity, ethnocentrism, convention, and conservatism." Under Critical Theory, anything emanating from the west is to be libeled and attacked over and over again while at the same time, anything emerging from a "progressive" country or group is to be applauded including the murder of over 100 million people. All blame for societal and economic ills are to be shifted to the west.


http://www.enterstageright.com/archive/articles/0102/0102frankfortschool.htm

Citation :
Understanding the Culture War:
Gramscians, Tocquevillians and Others
by Steven Yates

http://www.lewrockwell.com/yates/yates24.html
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