Action
Nombre de messages : 190 Date d'inscription : 15/04/2006
| Sujet: Je ne savais pas où placer ce sujet ! Jeu 11 Mai - 0:51 | |
| Où placer cet article pour en discuter? Dans la section femme (car la mairesse est une femme ), ou dans "enjeux masculins" p-c-que le sujet traite des itinérants (surtout des hommes ).... En tout cas, bravo à une femme pour son coeur !!! Elle ne le fait p-être pas parce que ce sont des hommes. Mais elle parle en faveur d'une catégorie (les jeunes "sans avenirs") qui est souvent négligé ! On en veut des tonnes comme elle. Il faut que les hommes ET les femmes parlent/pensent toujours en faveur des 2 sexes en même temps. Nous sommes TOUS interdépendants. Notre société devrait être "malade" des enfants et de la famille et non pas "des femmes" ou "des hommes". Si nous faisions tousssse ça(penser/agir en fonction des autres), tout le monde irait ben mieux; particulièrement les enfants, mais aussi les hommes ET les femmes. Voici l'article: Le mardi 09 mai 2006
La pratique du squeegee dérange les citoyens, reconnaît Andrée Boucher. Tout le nœud de l’affaire réside dans le fait qu’on fera dorénavant des criminels avec des jeunes qui, au premier chef, ne le sont pas, dit-elle. Le Soleil, Erick Labbé HARO SUR LES SQUEEGEES
Le « cœur de mère » de la mairesse touché
Jean-François Néron
Le Soleil
Québec
« Mon cœur de mère est partagé. » Andrée Boucher songe à des méthodes moins coercitives envers les squeegees.
Visiblement, la bête politique s’attendrit lorsqu’elle parle des jeunes de la rue. Parce que les squeegees, souvent, le sont. La mairesse Andrée Boucher a lu avec attention le reportage paru dans Le Soleil d’hier sur les nouvelles méthodes davantage répressives employées par les policiers de Québec pour contrer les squeegees.
« On ne veut pas en faire des exclus. Ce sont des enfants qui ont besoin d’avoir une place. Et je suis convaincue qu’ils ont du potentiel. Qu’est-ce qu’on pourrait faire ? » questionne-t-elle.
Ou leur « faire faire », devrait aussi dire la mairesse. Une interrogation qu’elle s’est posée hier matin à la lecture du reportage. Cette fois, le journaliste demeure sur son appétit. « Je ne veux pas en parler parce que ce n’est encore qu’une élucubration, mais ça pourrait devenir une idée. Je vous en parlerai à ce moment. »
Plus de détails dans la version papier du journal Le Soleil de mercredi.http://www.cyberpresse.ca/article/20060509/CPSOLEIL/60509172/5177/CPSOLEIL | |
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