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 Droits des pères : que faire?

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Date d'inscription : 15/04/2006

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MessageSujet: Droits des pères : que faire?   Droits des pères : que faire? EmptySam 15 Avr - 21:37

Droits des pères : que faire?

J’écris souvent sur le problème des pères. Je reçois des mails me demandant conseil; parfois un homme en instance de divorce, mais souvent aussi sa mère.

Il y a beaucoup de mères qui aiment véritablement leur fils. L’injustice que leur inflige la soi-disant « cour de la famille » les rend furieuses.

Il est relativement facile pour les fémi-nazies de manipuler des jeunes étudiantes, à l’université, et de leur enseigner la haine du père, la haine de leurs petits amis et la haine de tout ce qui est masculin. Mais lorsque certaines de ces filles deviennent mères de garçons … elles redeviennent de véritables êtres humains : des mères qui aiment leur fils.

Pour moi, père de filles, je peux invectiver les fémi-sexistes ainsi que les femmes de « bonne volonté » qui avalent la propagande fémi-nazie, mais cela ne change rien à l’amour que j’ai pour mes filles. Je veux qu’elles soient heureuses, qu’elles soient traitées avec équité et qu’elles aient droit à ma présence dans leur vie. Elles semblent désirer la même chose.

Les conseils que je donne aux hommes qui m’écrivent se résument à ceci: faites de votre mieux dans votre situation, mais soyez conscient que les dés sont pipés contre les hommes.

Il faut travailler à changer les lois sur la famille.

Ce conseil est vraiment au cœur du problème. Un individu, seul, ne peut que fort rarement, gagner au jeu de la loi de la famille; le jeu est truqué et il se joue au détriment des hommes. L’actuel système de lois accorde peu de chance à un homme. Une femme peut facilement manipuler le pouvoir de l’État pour kidnapper les enfants du père et l’exproprier de ses revenus, tout simplement parce que « tel est son bon plaisir. » L’homme qui refuse d’abandonner ses enfants ou ses revenus peut être jeté en prison par l’État. L’État n'a pas à le trouver coupable d’aucun crime, sauf celui de refuser de livrer ses enfants ou ses revenus tel qu’on lui ordonne.

Ceci veut dire que l’actuel système de loi sur la famille doit être changé. Mais cela est difficile pour un individu solitaire.

Le plus vaste problème auquel font face les hommes est celui de la garde des enfants. L’ordre de garde des enfants est moins une ordre qui accorde des droits à la vainqueure (la mère) qu’une ordre qui abolit les droits du vaincu (le père). Le juge affirme baser sa décision sur lequel des parents fera le meilleur parent : la mère ou le père. Ainsi, un père ne perd pas la garde de ses enfants parce qu'il est un mauvais parent. Il en perd la garde parce qu’un juge prétend croire qu'il n'est pas aussi bon un parent que la MÈRE.

L’ordre de garde des enfants, biaisée en faveur de la mère, est LA décision qui permet aux juges et aux autres fonctionnaires de l’État de violer les droits constitutionnels fondamentaux d'un père. Si le père avait réellement des droits, le système de la garde unique par la mère ne pourrait pas exister. Les « meilleurs intérêts de l'enfant » sont l'outil légal primaire qui permet aux juges de violer les droits légaux des pères.

Le système de la garde unique par la mère s'effondrerait si les pensions alimentaires n'étaient pas payées. Les pensions alimentaires sont l’essence sur lequel carbure l’industrie du divorce. Les pouvoirs établis le savent pertinemment. Voila pourquoi tant d’efforts sont fait pour percevoir les pensions alimentaires, dites pour enfants.

Évidemment, les enfants, des êtres dépendants, ont besoin d'aide financière. L'envers de la médaille est que si l’État peut saisir les revenus d'un homme, celui n’a plus les moyens de résister au pouvoir de l’État de kidnapper ses enfants. Pour un homme divorcé c’est pile je perds, face tu gagnes. Le père divorcé est forcé de payer les pensions alimentaires qui financent le système d’injustice. Si cependant il refusait de payer, ses enfants en souffriraient.

En accordant à la MÈRE la garde exclusive des enfants, la société mets tous ses œufs dans le même panier. Si la mère ne survit pas, la société ne survivra pas. Ceci mets en conflit les droits du père et les besoins de survie de la société. Dans une telle perspective, les droits du père mettent en péril la survie de la société.

Des hommes ont essayé, seul, de résister au système, mais la machinerie étatique est si vaste, qu’un effort solitaire est futile. Il est difficile pour un homme de disparaître avec ses enfants. Le système de pensions alimentaires est imposé par le gouvernement fédéral et celui des États. Ceux-ci utilisent des bases de données sophistiquées qui permettent de retrouver pratiquement n’importe qui; mais la cible est communément le père.

C’est la « GROSSE SŒUR TE WATCHE » en action.

En d'autres termes, il est très difficile pour un homme seul de gagner par lui-même; il a fort peu de cartes dans son jeu. Le système s'assure de cela.

Ergo, l’objectif principal des hommes est de changer le système.

Un homme peut parfois gagner; il y a, parfois, des gens qui gagnent à Las Vegas. Mais les probabilités sont toujours en faveur du casino.

Que peuvent faire les hommes? Ils ont quelques options.

Premièrement; ils peuvent tout simplement refuser de jouer le jeu. Si un homme veut éviter les problèmes du divorce il peut tout simplement ne pas se marier. Les lois de la famille donnent peu de raisons aux hommes de se marier. Cependant, elles offrent des multitudes de raisons aux femmes de ne pas rester mariées. Ne pas jouer le jeu peut aussi dire ne pas avoir de relations sexuelles avec les femmes, puisque même les pères non mariés font désormais parti du système. Ne pas jouer le jeu veut donc dire un bon emploi, un bon chien, et une souscription à PlayBoy.

Autres solutions : s’exiler ou devenir gay. Il existe encore des pays où les hommes sont traités comme des êtres humains, et non seulement comme des serfs oeuvrant à financer l’État et l’industrie du divorce. Il y a des « gays » qui pensent que le mariage va leur accorder les mêmes droits que les hétéros. Peu être. Ce qui est certain, c’est que cela va donner à l’État le même pouvoir de s’ingérer dans leur vie privé.

Finalement, les hommes ET LES FEMMES peuvent travailler à changer le système.

L’endroit le plus susceptible au changement est la législature de l’État. Les cours sont devenues des puissances autonomes; elles interprètent et réinterprètent la loi de la famille de façon à en éliminer les pères. Les législatures des États ont donné aux cours ce pouvoir. Ces législatures peuvent donc le leur reprendre.

Cela veut-il dire que les pères, ces puissants patriarches puissants, doivent aller, casquette à la main, quémander des pouvoirs de leur législateur : « SVP, Monsieur le législateur, puis-je avoir plus de pouvoir? »

Quels droits les pères devraient-ils demander? Le droit à la garde partagée présumée; le droit de voir leur cas de divorce jugé par un jury (et non un juge, membre de l’industrie du divorce); le droit de négocier leur propre contrat de mariage, AVANT le mariage (la cour n’ayant PAS le droit « d’ouvrir » ce contrat, mais seulement le droit de faire respecter les clauses dudit contrat); le droit de n’avoir à payer que des montants raisonnables de pensions alimentaires (si il n’y a pas de garde partagée); l’élimination des peines criminelles, y inclus la prison, en cas d’incapacité de payer la pension alimentaire.

Naturellement, la plupart des législateurs feront la sourde oreille. Je le sais par expérience. L’État tire un gigantesque bénéfice du divorce et du système des pensions alimentaires. L’État refusera de changer.

En ce moment les législateurs peuvent tout simplement blâmer la cour. Si les législateurs prenaient l’initiative de changer le système, ils seraient vite blâmés (par les fémi-sexistes ET l’industrie du divorce).

En ce moment, le gouvernement américain prétend qu’il y a $ 94, 000, 000, 000 en pensions alimentaires non payées. En fait, près de 30% de ce montant, soit 30 milliards, est un remboursement de frais d’assistance sociale, dus aux États par le fédéral. De plus, les États reçoivent des remboursements du fédéral pour leur frais de perceptions, et comme paiements pour les encourager à augmenter les montants de pensions à percevoir. La pension alimentaire sustente autant les enfants que le pouvoir de l’État.

Il y a aussi les gouverneurs des États. Certains gouverneurs sont disposés à signer des lois favorables aux pères. Cependant, la plupart savent qu’ils ne seront pas réélus si ils favorisent trop les pères. La plupart des politiciens savent, tout comme le savait Bill Clinton, qu’ils ne peuvent pas se mettre les fémi-sexistes à dos.

Il y a bien quelques politiciens, tel le Représentant (au Congrès) Ron Paul <http://www.house.gov/paul/> , un républicain du Texas, qui a voté contre la loi fédérale sur les pensions alimentaires. Paul croit que le gouvernement fédéral n’a pas de pouvoir constitutionnel sur les questions domestiques.

Si les juges, les législateurs et les gouverneurs persistent à ne pas écouter, cela ne laisse que la solution finale.

Je ne suis pas encore prêt à prendre cette solution. Mais je sais, de par les nombreux courriels que je reçois, que plusieurs hommes y sont prêts.

La loi moderne sur la famille détruit plus que le mariage. Elle détruit aussi les droits fondamentaux des pères, et des hommes, à la vie, à la liberté et la quête du bonheur.

Il fut un temps où des hommes ont initié une révolution parce que leur droit à la vie, à la liberté et à la quête du bonheur leur était refusé par un distant souverain.

Si nous n'étudions pas l'histoire, nous sommes condamnés à la répéter.

En attendant, supportez les activistes des droits des pères de votre localité, tels que « Fathers-4-Justice http://www.fathers-4-justice.ca/fr/ » (pères pour la justice) et la « American Coalition for Fathers and Children http://www.acfc.org/ » (Coalition américaine des pères et des enfants).

Mieux encore, devenez vous-même un activiste,

Paul C. Robbins, Ph.D.

Le 13 mai, 2005

probbins@vitesse.com
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